[Hot] she knows everything / effie

she knows everything
effie and ryan

L’animal tourne en rond. Sa cage est grande mais ça reste une cage. Les premiers jours ont été bénéfiques. Se reposer à la maison est une bonne idée, surtout après un gros accident de voiture et un long séjour en hopital. Retrouver son foyer, son lit, des repas dignes de ce nom ça fait du bien. Mais pour un homme comme Ryan Withaker, les jours avancent et la frustration le gagne. Il a ce besoin de sortir, d’explorer la ville, de flairer son environnement. Rester là sans rien faire, commence à le rendre fou. Il en a marre de porter tous les jours des survêtements et des tee shirts. Il adore ça, il est à l’aise et c’est mieux tant qu’il a ses points. Mais il a envie de mettre un jean, une chemise, une cravate. Il a envie de prendre ses dossiers et aller diner avec des clients pour faire des affaires. Il a envie d’aller à la faculté écouter ou taquiner les étudiants plus ou moins intéressés. Par chance ses amis et ses filles viennent le voir de temps en temps. Et heureusement il y a Effie, il adore être avec elle, mais ce qui lui manque c’est sa liberté. La possibilité d’aller boire un verre simplement. Des moments comme ça. Il patiente grâce à son ordinateur, car il peut travailler de chez lui, et c’est ce qu’il fait le plus la journée. Dans son bureau, dans sa chambre ou même dans le salon. Il travaille, ça l’occupe beaucoup. Il passe aussi des moments adorables avec Effie. Un film, un repas, des bonheurs simples, mais ça n’empêche qu’il sature de cette vie à l’intérieur. Il rêve de sexe, presque trois semaines sans sexe c’est une torture. Il rêve de boire un verre d’alcool, une bière, même ça on le laisse pas faire. Et Effie a tendance à le surveiller un peu trop, ce qui parfois l’agace mais c’est le jeu. Parce qu’en vérité il a besoin qu’elle soit là. Ce qui fait que parfois ça fait un peu des étincelles mais ils se réconcilient souvent assez vite mais avec beaucoup de frustration. Ryan sent souvent le loup se réveiller dans son boxer et ça le rend fou. Il fait comme tous les hommes, il n’a pas le choix,  il en vient parfois à se débrouiller tout seul quand ça devient insupportable. Assis sur le sofa, pantalon de survêtement, sans boxer, si il aime bien. Sans tee shirt, il est bien, il fait bon chez lui, puis il n’y a que Effie qui peut le voir. D’ailleurs il lève le nez de son ordinateur, c’est le début de soirée. Il n’entend rien. Effie n’est pas là. Il ne sait même pas où elle est, peut être sortie faire une course ? Ryan sourit, il a une idée. Il se lève doucement du canapé, et s’aventure discrètement dans la cuisine. Ouvre le frigo et attrape une bière dont il boit rapidement quelques gorgées bien fraîches, quel plaisir. Pire qu’un sale gosse !

le temps est long. t'aimes être avec lui, l'aider, le soigner, le soutenir mais le temps est long. Ryan est grincheux sans sa liberté, sans ce qu'il aime faire, ses sorties, son boulot. tu fais ça pour son bien, pour qu'il aille mieux. il le sait mais ça reste difficile à supporter. Sa cage dorée commence à l'étouffer et tu le sais, tu le vois dans son comportement, il tourne en rond et se plain de plus en plus souvent. tu as pris des congés, tu ne veux surtout pas que ton loup ce retrouve seul chez lui, tu essayes de lui changer les idées même si c'est plus compliquer, tu dois trouver des astuces ou des activités comme avec un enfant mais Ryan est plus difficile. Désormais dans la salle de bain après avoir pris le temps d'aller faire les courses pour la semaine, tu as embrassé ton loup sur le front, tendrement alors qu'il travaillait s'installé sur le sofa, dans cette tenu à moitié dénudé, tu a eu des idées coquine mais rapidement tu as décidais de t'éloigner de ton loup. ce n'est pas sain, ça te torture depuis des semaines, trop longtemps que tu n'as pas eu le plaisir de son corps nu contre le tien. tu souffres silencieusement, tu préfères sa santé à ton plaisir, ton désir immense. alors tu t’éclipse vite à l'étage pour prendre une douche, un besoin de te changer les idées charnels. l'eau chaude sur ton corps aère ton esprit, tu prends ton temps. Finalement après quelques temps sous l'eau tu sors de la douche et te prépare pour la soirée, pour te mettre à l'aise tu enfile une chemise de ton loup, tu adores cette tenue légère, une petite culotte simplement la chemise qui arrive au-dessus de tes genoux à mi-cuisses qui casse parfaitement ton sous vêtement en dentelle. les cheveux détaché, bouclé et encore humide qui tombent sur tes épaules. tu te sens bien dans le tissu de ton loup, son odeur présente qui t'apaise. Tu sors de la chambre pour le rejoindre dans le salon pourtant tu ne le trouve pas sur le sofa. - Bébé ? dis-tu à haute voix alors que tu t'avances vers la cuisine où tu le découvre sirotant calmement une bière. - Bon dieu Ryan ! Dis-tu plus fort cette fois alors que tu fronces les sourcils, ton air change alors que tu t'approches de lui. - Tu sais bien que tu n'as pas le droit à l'alcool avec tes médicaments. ajoutes-tu en lui prenant la canette des mains, tu le contournes, ton corps peu habillée frôlant le sien. 

Etre pris en flagrant délit, voilà l’erreur du bel avocat. Il ne pouvait nier avoir bu cette bière, du moins quelques gorgées de cette bière. En temps normal, il prend la canette et va se poser plus loin pour la boire tranquillement. Il ne voulait surtout pas laisser de trace et éviter les soupçons le plus possible. C’est pour ça qu’il a choisi la précipitation mais la discrétion. La preuve en est, et qu’elle ne l’a pas entendu venir dans la cuisine piocher cette canette. Sans doute parce qu’elle était sous la douche, le bruit de l’eau, l’étage tout ça, c’est loin pour entendre ces petits bruits. C’est pourquoi il s’en était donné à cœur joie pour boire plusieurs gorgées. Ça faisait tellement de bien. Pas que le fait que ce soit de la bière, mais de gouter un peu à cette vie qui est la sienne et qu’il laisse dehors depuis quelques semaines. Trop tard, il est pris sur le fait. La main dans le sac comme on dit. Il ne peut ignorer le regard assassin d’Effie. Alors qu’elle le regarde il boit encore une gorgée, ce n’est pas de la provocation, peut être un peu, mais il veut profiter un maximum. Il ne lui répond pas, il soupire seulement lorsqu’elle lui enlève la canette des mains et qu’elle lui rappelle qu’il n’a pas le droit de boire d’alcool avec ses médicaments. Un court instant il regrette de ne pas être parti en Californie. Oui, pour un caprice, pour une canette de bière il se dit que la vie serait mieux ailleurs. Tout simplement parce que tout se bouscule dans sa tête. En vérité il ne regrette nullement d’être revenu, cet accident ça fait partie de la vie c’est tout. Mais réellement il commence à péter les plombs à être enfermé. Il n’en veut même pas à Effie. C’est juste un tout qui l’agace. Je sature, murmure t’il. C’est difficile à avouer, mais il en peut vraiment plus. Enfin les yeux de Ryan se posent réellement sur la jolie brune. Le regard du loup est sombre, comme s’il n’avait pas mangé depuis des jours et c’est totalement ce qu’il ressent. Toujours elle lui pique ses chemises, il ne peut pas lui en vouloir parce qu’elle les portes bien. Il remarque ses jambes nues, ses cheveux humides. Il fronce les sourcils, il la fixe, le chasseur qui observe sa proie, la tension est palpable. Les choses changent en une seconde lorsqu’il attrape Effie par la taille pour la plaquer contre le réfrigérateur. Une main sur ses hanches, une autre contre sa joue, son pouce qui caresse sa bouche. Il frôle ses lèvres, murmure contre ses lèvres. Le dominant est clairement là, la frustration des dernières semaines. Il sait qu’il ne peut pas. Couche avec moi Effie, lui murmure t’il, un supplice presque. Le loup dans son survêtement se réveille, il se frotte légèrement contre la belle. Il a envie, tellement envie. Il est brutal, mais il ne lui fait aucun mal, du moins il l’espère. Il reste tendre avec ses mains contre son visage.

tu as le mauvais rôle dans cette histoire même si tu veux juste prendre soin de lui. tu essayes de bien faire mais parfois il grogne comme une bête sauvage, tu sais qu'il n'aime pas être privé de ce qu'il aime, sa liberté pourtant tu fais ça pour lui. tu fais au maximum pour qu'il se sente bien, la cuisine c'est pas trop ton truc mais tu t'améliores, tu l'aides ou tu regardes des vidéos pour faire de bon repas. tu fais des courses, prends ses médicaments, lui fait ses soins. ce n'est pas difficile pour toi ni même une corvée, tu adores ça. être avec lui rend la situation plus agréable, vos moments simple l'un avec l'autre comme un couple, comme avant. tu l'aimes follement et tu remercies encore le ciel chaque matin quand tu le retrouves à tes côtés, endormi profondément. tu aurais pu le perdre et le fait qu'il soit encore là te remplis de joie alors tu t'efforces de tenir bon pour lui. cette douche t'a fais un bien fou, tes muscles détendus, tu as enfilé une chemise de ton loup comme à ton habitude. tu n'as pas vraiment l'intention de l'aguicher dans cette tenue mais tu es plutôt à l'aise désormais. finalement tu rejoins Ryan, le pensant encore sur le sofa concentré dans son travail pourtant tu le retrouve dans la cuisine à siroté une bière tranquillement alors qu'il connait son interdiction à l'alcool. furieuse, tu fronces les sourcils et lui pique la bière des mains pour la poser un peu plus loin de lui sur l’évier de la cuisine. tu te tourne vers lui alors qu'il avoue en avoir marre, tu sens ta colère s'envoler. lâchant un petit soupir et une moue triste en t'approchant lentement de lui. - Je sais bien mais il te reste plus longtemps mon ange, tu guéris vite. dis-tu pour le rassurer et c'était sincère, son état s'améliore nettement, sa cicatrice n'est presque plus rouge grâce aux soins et au repos. Très vite le regard de ton loup s'assombris, tu sens sa frustration dans son regard, dans son comportement et soudainement il te plaque contre le réfrigérateur. le souffle coupé, les cheveux en bataille sur ton visage. tu sens cette tension, tu as tant envie de lui depuis des semaines. comment résister à cet instant alors que tu voudrais qu'il te prenne, là, maintenant. le souffle court, tu soupirs bruyamment contre ses lèvres qui effleurent les tiennes. ton corps réponds au sien, tu te cambres te serrant contre lui, dans ses bras pendant que tes mains s'enfouis dans sa nuque, ses cheveux brun. - Ryan.. j'en ai tant envie. murmures-tu contre sa bouche, tu devrais être raisonnable mais la frustration, ton désir est si fort et intense que tu deviens aussi brutal que lui. 

Effie est là, elle se radoucit, elle prend le temps d’être là pour lui. Il s’en veut de réagir comme ça parfois, de ne pas faire ce qu’il faut. Mais à cet instant il n’a pas résisté. Ce n’est pas qu’à cause de la bière, c’est un tout. Si elle n’était pas là, il aurait sans doute craqué depuis bien longtemps pour l’alcool ou la bière et il serait retourné à l’hopital. Grâce à elle, Ryan est plus reposé, plus serein, même si à certains moments mais tout de suite la bête est prête à exploser. Après des jours sous un sommeil forcé. Retenir ses envies ce n’est pas facile. On doit le faire, sinon on ne serait pas des humains mais réellement des animaux. Par chance les animaux sauvages ont une période de reproduction et le reste de l’année ils sont plus tranquilles. Heureusement les hommes savent jouer avec la sexualité sans avoir pour but de se reproduire. La recherche du plaisir passe avant tout. Qu’on soit un homme et une femme, une femme et une femme, un homme et un homme, plus nombreux ou tout seul. La sexualité est partout autour de nous. Dans les publicités, dans les films, dans les livres, dans la presse c’est un sujet qui nous intéresse tous. On se sent tous concernés. On est tous différents, plus ou moins faible via le pêché ultime. Si l’enfer existe, il y a surement sa place depuis longtemps, mais tant pis. C’est trop bon, quand on peut. Ryan n’en peut plus, après tous ces jours sans sexe. Il a été calme jusqu’à maintenant, il a souffert en silence et a laissé monter sa frustration au lieu d’en parler réellement. Maintenant il craque. Il n’a pas réfléchi, son instinct de chasseur, de mâle dominant l’a accompagné dans son geste. En plaquant Effie contre ce réfrigérateur. Il n’a pas su contrôler ses pulsions, en lui sautant dessus comme ça. Les respirations commencent déjà à s’accélérer. Effie est adorable, elle est sexy. Elle se colle vite contre lui, elle en a envie autant que lui, il le sait. Il croise son regard aussi sombre que le sien à cet instant précis, alors qu’il vient l’embrasser follement et amoureusement. Ses mains qui étaient autour de son visage se dispersent sous la chemise, trouvant le contact avec sa peau. Il est précis, ses mains sont délicates alors que ses lèvres sont en feu. Le loup est déjà prêt, il n’attend que ça. Il la soulève, il la tient bien, elle ne touche plus le sol, elle ne peut que sentir le loup entre ses cuisses, encore dans le survêtement. Il a mal. Il ne dit rien, il continue, l’envie est la plus importante. Mais après plusieurs minutes où les corps ce sont emballés, il relâche doucement ses baisers. Il grimace, et repose Effie au sol doucement. Il tape dans la porte du réfrigérateur. Je suis désolé, lui dit il doucement, il est blessé dans sa chair et dans sa fierté. Il est toujours face à elle, mais finit par fuir et retourner sur le sofa. Il est dégouté, frustré, il est à bout, il avait tellement envie d’elle. Il s'en veut tellement de lui faire ça.

@Effie Gardner

tout ce passe si vite, les gestes de Ryan te transporte loin, la réalité n'existe plus pour l'instant. la frustration de ces dernières semaines, le plaisir de le voir rester, la joie qu'il soit encore en vie. tu aurais aimé partager ton amour, qu'il s'occupe de ton corps comme il l'a toujours fait mais c'est interdit pour l'instant. tu comprends sa frustration, ce qu'il ressent puisque de ton côté aussi tu a dû mal à contrôler tes désirs tant il te chamboule l'esprit. t'essayes d'être raisonnable, de ne pas imaginer trop de choses, de couper court à toutes images des mains de ton loup sur ton corps, de ses lèvres contre ta peau. Pourtant tout se passe si vite, Ryan est en colère et tu le sais mais son regard s'assombris lorsqu'il le pose sur toi, à moitié dénudé dans sa chemise, tu n'as pas vraiment cherché à l'attirer mais c'est naturel entre vous, ça vient soudainement. Ton corps frêles bloqué entre le corps de ton loup et la porte du réfrigérateur, tu ne bouge pas. sa bouche près de la tienne, son souffle chaud, ses mains contre ton visage, tu perds ton semblant de raison. tu oublies qu'il souffres, tu oublies l'accident pendant quelques seconde. juste lui compte, lui et son corps qui presse contre le tien. tes pensés s'embrouillent, incapable de résister tu laisses ton corps aller contre le sien, tes mains qui s'aventurent dans sa nuque, ses cheveux. t'en veux plus, tu le veux entièrement. le loup déjà dressé dans son survêtement, un soupirs s'échappe de ta bouche. tu as tant envie de lui, depuis des semaines que tu en souffres réellement, cette libération de vos corps te hantes. tu veux qu'il te prennes, vite, là dans la cuisine comme vous l'avez si souvent fait. Ses mains qui glissent sur ton corps, sous la chemise, des frissons apparaissent sur ton échine au contacte de ses doigts. Sa bouche qui possède enfin la tienne, passionnément, tu ne peux que répondre avec autant d'amour, tes doigts qui se crispent dans ses cheveux. Sans surprise ses mains agrippent tes cuisses et te soulève du sol, te soutenant à ses larges épaules, les jambes autour de ses hanches, tu sens le loup entre tes cuisses, c'est chaud, c'est bon. tu veux encore plus, toujours. tu frémis, gémis. tu prends plaisir mais bien vite ton loup te relâche. certainement qu'il a repris contacte avec la réalité lorsqu'il à trop forcé sur sa cicatrice. tu t'en veux de ne pas avoir su contrôler ton envie, de ne pas avoir pris conscience du danger. alors que tu es de nouveaux sur le sol, encore chamboulée par cet instant. tu sursautes lorsqu'il frappe contre la porte, près de ton visage. les lèvres humides et légèrement gonflé dû au baisé enflammé, la respiration toujours saccadée, tu te mords la lèvre en passant une main sur ta poitrine, essayant de reprendre le contrôle de ton corps. il s'excuse alors que tu cherches son regard fuyant il s'éloigne vers le salon pour reprendre sa place sur le sofa. tu secoues doucement la tête alors que tu ressens ce vide. non, tu as besoin de lui. tu passes une main dans tes cheveux essayant de les recoiffée correctement. rapidement tu le suit jusqu'au sofa, alors qu'il s'installe, tu n'attends pas et délicatement t'assoie sur ses genoux, doucement sans lui faire de mal. - ne t'excuse pas mon loup. murmure-tu en venant enfouir ton visage dans son cou, respirant son odeur, tes mains qui se baladent sur le haut de son torse. - laisse moi te faire plaisir. dis-tu doucement alors qu'une de tes mains glisses vers son bas ventre, évitant la cicatrice. la loup n'a pas encore complètement dégonflé, tu le sens, là, dans son survêtement. 

Ce n’est pas facile pour un homme d’assumer cette faiblesse. Encore plus pour un homme comme Ryan Withaker. Le sexe est quelque chose de tellement important pour lui, il ne sait pas s’en passer. C’est en partie pour ça qu’il a sans cesse trompé sa femme. Il a ce besoin incessant. Il a couché avec de nombreuses femmes, de plusieurs âges, de plusieurs styles, mais il n’a jamais vraiment trouvé ce qu’il recherchait. Il se soulageait, prenait plaisir mais il ne se passait rien de plus. Mademoiselle Gardner c’est différent. Elle aime le même sexe que lui, elle a toujours envie comme lui. Et en plus c’est un amour. Ryan qui n’a pas supporté de ne pas pouvoir lui donner ce qu’il voulait dans cette cuisine. Il est frustré, mais il n’a pas pu contourner cette douleur à son ventre. Il a trop forcé. C’est vexant pour lui-même, et il s’en veut de ne pas pouvoir la satisfaire. C’est pour ça qu’il est parti aussi vite vers le sofa. Il voulait oublier ce moment ridicule pour lui. Mais très vite elle le rejoint, et s’installe contre lui, il la laisse faire disant de ne pas s’excuser. Je ne sais pas si tu as misé sur le bon loup, dit il un peu timidement. Le fond du problème est toujours le même. Ce n’est pas la faute d’Effie, elle lui a avoué ses sentiments, il les accepte, mais le chemin pour lui est un peu plus long, encore plus dans des moments comme celui là. Mais il sourit, il passe un bras autour d’elle, et la serre plutôt fort contre lui … Mais je n’aurais pas survécu sans toi ces dernières semaines ... lui avoue t’il. Un peu pour se faire pardonner de la phrase d’avant. Et en même temps il est sincère comme toujours, ses mots sont pesés, il parle tranquillement. Son autre main vient se poser sur la peau douce du haut de ses cuisses parfaites. Il est tendre, il est délicat, même si la frustration est encore évidente. Le loup dans le survêtement n’est pas rassasié, il pourrait le laisser se calmer tranquillement, mais c’est impossible avec Effie qui le frôle avec ses jambes. Il aime sa main sur son torse, puis sur son ventre. Tu es tellement douce mon cœur, lui dit il adorable, il lève un sourcil intrigué par sa dernière phrase. Il sourit, et vient relever doucement le visage d’Effie face au sien pour l’embrasser tendrement, langoureusement, c’est délicat mais ça reste assez chaud. Sa main sur sa joue glisse doucement dans son cou avant de venir déboutonner un à un les boutons de la chemise. Ils ne sont pas encore tous ouverts, mais à suffit pour glisser une main à l’intérieur et la caresser, toujours tendrement, comme ses baisers incessants.

- Je ne sais pas si tu as misé sur le bon loup. Dit-il alors que tu serres ton corps contre le sien. Comment peux-tu lui prouver à quel point il est le bon pour toi. Tu l’aimes tant. Tes mains qui caressent le haut de son torse glissant sur ses épaules. Te voilà prise au piège, il a réveillé tes sens, ton envie irrésistible de son corps. Au fond tu sais qu’il ne se sens pas capable de te faire plaisir, de te rendre heureuse, tu sais qu’il a voulu te quitté pour cette raison et aussi partir pour s’éloigner de toi mais pourtant tout vous rapproches. Rien ne vous éloigne, tu n’as aucune envie d’être loin de lui, tu n’arrives même pas à l’imaginer. Pourtant il se rattrape avec la suite de ses paroles, tu souris alors qu’il te serre contre lui, ton visage enfouis dans son cou tu remontes tes mains dans sa nuque et ses cheveux que tu agrippes fermement. – je serais toujours là pour toi, tu sais. Murmures-tu dans le creux de sa tempes, délicatement le souffle chaud alors que tu sens sa main sur ta cuisses, tu frémis, ses doigts qui caresses ta peau, tu ne rêves que de cet instant depuis des semaines. Sa tendresse, dans ses mots et ses gestes, ton cœur fond dans ta poitrine. Il pourrait te tuer sur le champ sans soucis, ton cœur qui s’accélère dans ta poitrine. Ses mots te transportes, tu aimes l’entendre prononcer des mots doux, des surnoms alors qu’il n’y en avait pas avant, juste des ma princesses parfois. Lentement tu relèves ton visage lorsqu’il t’incite à le faire, ton sourire s’élargis alors qu’il comprend ce que tu comptes lui faire, déjà tant d’idée te traverse l’esprit. Sa bouche qui possède la tienne, les paupières closes tu réponds au baiser avec folie, tu l’embrasses avec plus de fougue alors qu’il déboutonne la chemise lentement. Tu te redresses sur ses genoux pour finalement passer tes jambes autour de lui. Tes lèvres quittent légèrement les siennes, respirant fortement pour reprendre ta respiration, tu mordilles sa lèvre sensuellement. – j’aime ces petits surnoms mon amour. Tu as chaud, vraiment trop chaud et même si tu as hâte de continuer ce jeu tu restes calme. Tu glisses une main dans son survêtement trouvant le loup déjà dressé et brûlant. Un sourire étire tes lèvres alors que tu le prends en main et que tu commences un manège de vas et viens, lent puis plus rapide. Assise sur le bord de ses genoux, la chemise remonté clairement jusqu’à tes hanches. Tu aucune envie d’arrêter ce moment intense, ça t’excite vraiment mais tu n’as pas le droit de lui faire mal, tu voudrais qu’il te prenne là, violemment sur le sofa mais ton plaisir attendra, il passe avant toi.

Je sais, lui répond t’il en souriant lorsqu’elle dit qu’elle sera toujours là pour lui. Il est bien finalement. Certes il est frustré, mais tout doucement il reprend ses esprits. Les caresses et les mots d’Effie viennent l’apaiser. Sa douceur vient le calmer, même si le loup crie toujours famine. Il est soulagé en partie de ne pas l’avoir traumatisée dans la cuisine en tapant sur cette porte de réfrigérateur. Depuis son départ pour la Californie, même un petit peu avant les choses ont changé. Ils parlent beaucoup plus. Ryan ne dit pas encore tout, et elle non plus mais doucement les mots viennent. Et même sans les mots, l’ambiance est différente. Il est plus posé, il lui ouvre son cœur. Ça prend du temps ces choses là, surtout pour lui. Il se fait petit à petit à l’idée de se poser plus sérieusement. Il fait beaucoup d’efforts. Les lèvres s’enflamment. Alors qu’ils essaient d’être calmes, d’y aller tranquillement ça finit toujours par déraper. Un simple baiser enflammé devient une invitation à plus. Alors que la brune vient se positionner au dessus de lui, en face de lui, il se laisse faire. Il sourit tendrement, « mon amour », il n’a pas l’habitude. Il l’entend le dire depuis l’hopital, il ne commente, il se contente d’écouter, et de s’y habituer justement. Il aime bien ça, et ça se confirme avec son sourire et ses gestes tendres. Tu les mérites, lui murmure t’il avant de vite reprendre le contact avec ses lèvres. Il en veut plus. Il essaie de garder le contrôle cependant, même si l’annonce de plus de la brune l’intrigue. Alors qu’il la dévore, littéralement, les mains posées sur ses cuisses qu’il caresse. Il s’amuse avec l’élastique de sa petite culotte en dentelle. Il est tenté, mais pour l’instant il la laisse faire. Il relâche ses lèvres et regarde sa main, il la suit, pour la voir venir s’introduire dans son survêtement. Il fait chaud là dedans c’est certain. Le contact avec la main d’Effie est tellement bon. Il frémit, il respire tranquillement, même si ça ne va pas tarder à s’accélérer. Doucement, lui dit il dans un chuchotement, il a envie qu’elle prenne son temps, c’est tellement bon. Il sourit encore, il la dévore des yeux, il voit légèrement sa poitrine dans la chemise ouverte, elle est parfaite. Il s’approche légèrement pour l’embrasser avant de descendre son survêtement afin de libérer complètement le monstre. De cette façon c’est plus facile pour elle. Il s’installe bien contre le soda, la tête en arrière, il ferme les yeux, il profite. Encore mon cœur, dit il taquin, puisqu’eiie aime les mots doux. Sa respiration se fait plus saccadée, ses mains posées toujours au niveau de ses genoux, il la caresse.

Tu voudrais le laisser mener la dance comme toujours, qu’il s’occupe de toi à la perfection mais ce soir ce n’est plus lui le maître, le dominant. Tu es là, contre lui. Les mains baladeuses contre son torse puis le bas de son ventre, t’oublie presque qu’il est faible, qu’il a mal mais le pansement te ramène à la réalité et t’écorche légèrement le cœur. Tu déteste le voir souffrir, le voir abîmé d’une quelconque façon pourtant à cet instant tu ne veux pas y penser tu veux juste lui faire plaisir, le rendre fou. Tant de frustration depuis des semaines, depuis des jours, impossible de vous toucher sans vouloir aller plus loin. Tu dois juste attendre, patienter jusqu’à ce que sa cicatrice soit guéris et que les points soit enlevé, plus longtemps encore. C’est difficile pour vous deux, ça devient vraiment intenable et parfois tu quittes son lit, ses bras quand tu sens que le désir devient insupportable. Pour son bien, pour le tien. Tu restes une femme avec des besoins, des envies qui ne se contrôlent pas et qui apparaissent sans t’y attendre. Ton loup ne t’aide pas vraiment surtout lorsqu’il se balade nu ou juste vêtu d’un survêtement, tu serais capable de lui sauter dessus sans retenu si tu écoutais ta libido. Voilà un nouveau défi pour vous deux, ne pas céder à la tentation pourtant ce soir c’est le contraire même si Ryan s’est fait mal tu veux l’aider, lui passer son désir et sa frustration. Tu veux qu’il aille mieux et tu peux l’aider, tes mains, ta bouche. Tu connais la bonne méthode et il à l’air tout à faire d’accord lorsque tu glisses ta main dans son survêtement tu sens son loup dur et chaud, le loup féroce. Il s’amuse de son côté avec l’élastique de ta culotte, ainsi qu’à laisser glisser ses doigts sur tes cuisses ou sous la chemise, une torture beaucoup trop agréable à ton goût. Ta bouche qui ne quitte presque plus la sienne tant tu aimes la dévorer. Tes doigts se resserrent autour de sa verge, doucement, des mouvements doux avant d’accentuer parfois avec des mouvements de poignet. Alors qu’il baisse son survêtement tu découvre le loup, dressé, splendide et prêt juste pour toi. Un instant tu te mords la lèvre, désireuse puis finalement tu te glisses de ses genoux pour venir t’agenouiller sur le sol entre ses jambes, la hauteur parfaite tu lèves le regard vers Ryan, installé confortablement pour profiter de cet instant. Un petit sourire coquin qui se dessine aux coins de tes lèvres. Alors que tu venais de commencer avec tes doigts délicat désormais tu reprends avec ta bouche pulpeuse et brûlante, passant ta langue le long de ce membre en pleine érection, une fois en bouche tu reprends des vas et viens beaucoup plus humide cette fois. Le regard levé vers lui, t’observe ses réactions, son plaisir, le rendre fou une image qui décuple ton plaisir. Tu brûles tant pour lui. 

La fellation est tout un art. Une pratique sexuelle qui émoustille et fait rêver tous les hommes de la planète. C’est agréable, ça donne aux hommes une sensation de domination suprême. Une jeune femme à genoux devant l’animal absolu. L’accessibilité facilitée des dernières années aux sites pour adultes n’arrangent pas ces fantasmes là. Malheureusement dans la vraie vie, certaines femmes trouve ça dégradant, sale, et ne veulent pas le faire. Heureusement il y a des filles qui aiment ça aussi. Après tout c’est un plaisir mutuel. Ça doit être fait avec envie et plaisir, sinon ça n’a pas de saveur. Et à cet instant précis, Ryan Withaker la tête posée contre le canapé, soupire, voit sa respiration saccadée. Il ne parle plus, il ferme même parfois les yeux. Seulement quelques secondes pour décupler son plaisir. Mais quand il ouvre les yeux, qu’il croise le regard d’Effie il se passe quelque chose de plus. Elle le fixe, dans les yeux, elle est confiante, elle sait ce qu’elle fait et le fait bien. Ardente, passionnée, douce, c’est une merveille. Elle n’a rien à envier aux actrices ridicules des sites qui planent sur internet. Elle est parfaite, elle sourit, elle joue avec le loup et avec lui. Lui aussi, joue parfois. Il joue avec ses cheveux, ses mèches qui tombent sur son visage, il mime quelques fois l’acte sexuel pur, doucement pour ne pas se faire mal et pour ne pas la brusquer non plus, mais c’est trop bon. T’es superbe, lui dit-il dans un souffle proche de l’orgasme au bout de plusieurs minutes. Il est pas loin. Il veut finir avec elle, il relève son visage doucement, et l’invite à revenir sur ses genoux. Il l’embrasse tendrement, mais langoureusement. Il prend sa main dans la sienne, et fais les mouvements avec elle sur son loup. C’est chaud, c’est complice, alors que sa bouche dévore la sienne. Il la relâche le temps de pousser quelques grognements de plaisir alors qu’il explose. Il reste contre elle, il reprend son souffle. […] Après avoir repris ses esprits, ils ont pu aller se rincer les mains, Ryan et changer de pantalon parce que tout de même c’était chaud. Il en rêvait encore, alors qu’ll revenait vers le sofa avec elle. Il la laisse s’installer la première, éteint la lumière de l’appartement. Il n’y a plus que l’écran de télévision qui projette de la lumière. Il revient vers elle, et l’invite à s’allonger contre lui. Le sofa n’est pas immense, ils sont donc beaucoup plus serrés que dans le lit, même si en vérité ça ne change pas grand-chose pour eux. Alors qu’il la sert contre lui un bras autour de ses épaules, il vient déposer ses lèvres dans son cou, merci mon ange lui dit il doucement, alors qu’elle est dos contre lui. Son autre main vient se balader sous la chemise, jusqu’à l’élastique de la petite culotte avec lequel il joue. Il a très envie de lui faire plaisir aussi malgré les interdictions.

tu n'es pas la plus douée, la plus expérimentée pour ce genre de choses et même si tu n'as rien avoir avec toutes les femmes plus mûres, tu connais ton loup, ce loup que tu tiens entre tes doigts. tu connais Ryan et ses besoins, ses envies et ce qu'il aime. tu le connais certainement mieux que quiconque. alors tu sais ce qu'il veut, sa frustration est sévère ce soir et depuis maintenant trop longtemps vous n'avez pas couché ensemble, bientôt la fin de sa convalescence et tu attends cet instant avec impatience. ton corps brûle si fort pour cet homme que tu commences à devenir folle mais tu restes silencieuse ne voulant pas le faire culpabilisé. sa santé avant ta folie. sa vie avant la tienne. ce soir tu aurais tant voulu qu'il se laisse aller avec force dans la cuisine, qu'il s'occupe de toi comme il le fait si bien mais ce n'était pas raisonnable, la douleur qui a pris le pas sur le plaisir. Frustré il a vite tourné les talons mais pour toi ce n'était pas fini, ce n'est jamais fini. tu veux lui faire du bien, le rendre heureux comme il te rend heureuse alors tu prends les choses en mains, enfin tu prend le loup en main. des doigts délicats, des vas et vient doux jusqu'à ce que tu décides de continuer la torture avec ta bouche. la fellation, l'ultime acte que tant d'hommes aimes avoir. tu n'as jamais refusé et surtout pas avec Ryan. le loup envelopper de ta bouche désireuse et tentatrice, tu ne manque rien des expressions du bel avocat. des mouvements profond, rapide et humide. tu sens le loup si bouillant dans le fond de ta gorge, parfois tu arrêtes pour reprendre ta respiration mais tu reprend vite, ne voulant pas louper son plaisir. tu le sens si proche, tu demande bien qui domine à cet instant précis, lui ou toi. un question qui ferait certainement débat. Ses paroles te font sourire et tu n'as pas le temps de comprendre qui t'arrête dans tes gestes et t'attire contre lui, tu ne résistes pas, jamais à ses bras ouvert, son corps contre le tien. tu reviens vers lui, sur lui. Sa bouche qui possède rapidement la tienne, tu comprends qu'il veut venir avec toi, ta main avec la sienne qui s'occupe du loup en ébullition, il ne suffit de peu pour que Ryan arrive enfin à exploser. Un spectacle dont tu te lassera jamais, ses grognements qui t'excites, ton entres jambes souffre en silence. Tes baisers inonde sa barbe, son cou, fleurant son odeur parfaite. 
Le temps de se rincer et de remettre de vos émotions, tu reviens quelques minutes plus tard un grand verre de lait à la main, tu avais déjà bu le tien dans la cuisine, tu t'installes dans le sofa beaucoup trop petit mais ça suffit amplement pour vous deux, t'aime la proximité qu'il installe entre toi et ton loup. le regard profond qui découvre Ryan avec un nouveau survêtement, un sourire étire tes lèvres alors qu'il se glisse près de toi, ton corps coller au sien. ses lèvres qui se baladent dans ton cou, son souffle dans tes cheveux et sa main sous la chemise, tu fermes les paupières en serrant les dents, tu voudrais tant qu'il prenne soin de toi. ta lèvre inférieure entre tes dents, délicatement tu te retourne vers lui faisant extrêmement attention à sa blessure, face à lui, si proche que tu peux sentir son coeur battre contre le tien. ton corps si frêles, tu déposes une main contre sa joue, une place habituelle. - vivement que tu reprennes des forces Ryan, parce que je commence à devenir folle. dis-tu en lâchant un rire amusé en levant les yeux un instant. - tu vois ce que je suis devenue depuis que je te connais. une vraie accro. murmure-tu en glissant ton pouce contre ses lèvres désirable. tu aimes ce moment, délicat et tendre. tu peux parler, l'écouter, profiter de lui tant que tu le souhaites. un instant ton regard se perd sur son visage, quelques marques encore présentes, presque invisible pour ceux qui ne le connaissent pas mais pour toi si présente, des micro cicatrices. - je suis tellement heureuse que tu sois là, que tu sois revenu.  peut être trop sentimental pour ton loup mais le besoin de le dire, ce soulagement dans ta poitrine, dans ton coeur t'a poussé à lui dire. - tu sais, je serais vraiment venue en Californie. effectivement tu avais déjà prévu ce voyage dans ta tête, tu avais déjà même regarder des vols pour le rejoindre. 

Rien ne semblait pouvoir gâcher ce moment. Ryan était calme, serein. Effie était elle aussi douce et posée dans le creux de ses bras, le dos collé contre son corps. La lumière de l’écran de télévision les dessinait, le son n’était pas très fort, ce qui permettait cette proximité, encore plus. Ils ce sont rapprochés c’est évident. Il s’est passé quelque chose. En vérité tout s’est enchainé depuis la rupture sur le parking du bowling. Il y a eu des cris, des larmes. Un bal, une danse, un baiser. Des choses simples. Des rencontres ici ou là, une soirée chez des amis. Des moments d’égarement alors qu’il avait décidé de ne pas revenir en arrière sur ce choix qui lui semblait le meilleur. Un sale type dans un bar, une nuit magnifique. Un départ, une nuit d’adieu. Une route vers l’inconnu et un réveil dans une chambre d’hopital. Toutes ces épreuves ces dernières semaines qui vous conduisent finalement à cette petite soirée. Si au départ les choses n’allaient pas comme ils voulaient, avec ses mains de fée et sa bouche délicieuse ont su calmer les ardeurs du loup. Et même au-delà de ces choses là, sa douceur et sa gentillesse ne cessent de le surprendre chaque jour. Il sourit lorsqu’elle se retourne vers lui. Elle est délicate, elle ne fait pas de bruit, il la voit faire attention. Depuis des jours elle reste près de lui, elle ne râle jamais lorsqu’il a besoin de quelque chose. Il a fallu l’emmener à l’hopital une ou deux fois. Il fallait aussi aller à la pharmacie, ou ailleurs quand il avait besoin de quelque chose, elle allait le chercher, et toujours avec le sourire. Elle lui a crié dessus plusieurs fois, quand il s’agitait un peu trop, quand une infirmière passait pour emmener des soins et qu’il était habillé trop légèrement, quand il piquait de la bière dans le réfrigérateur comme ce soir. Des broutilles, qui le soir les faisaient beaucoup rire. Elle lui laissait aussi sa liberté, le laissant s’isoler pour travailler. Les nuits étaient surement les moments les plus difficiles de cette convalescence. C’est souvent comme ça, le corps se repose, les muscles se détendent et les douleurs arrivent elle aussi. Il était obligé de prendre un médicament assez fort, et elle attendait sagement qu’il s’endorme, qu’il n’ait plus mal. Il ne parlait pas beaucoup ces nuits là, il n’aime pas dire qu’il a mal, mais ça se voit c’es tout. Comme ce soir. Il la laisse lui toucher la joue, il aime beaucoup ce geste. Il ne desserre pas son étreinte de son bras, son autre main sous sa chemise continue à se balader contre sa peau. Le long de ses côtes, le bas des reins et du ventre. Des caresses qui ne sont pas là pour l’exciter, c’est doux et tendre, même si ça peut donner envie aussi. Il sourit à sa remarque, tu deviens pire que moi, lui dit il en riant avec elle. ils sont tellement proches à cet instant, les visages sont vraiment à proximité, il aime sentir ses doigts contre sa bouche, sa bouche qui n’est qu’à quelques centimètres. Je ne pouvais pas te laisser … lui répond t’il avant de déposer un simple baiser sur ses lèvres. Il sourit encore en entendant sa remarque sur la Californie, je n’en doute pas, il est sincère et elle il sait qu’elle l’est aussi. Je suis pas le mec le plus facile, je suis compliqué. Je ne fais pas toujours les bons choix … pour une fois il lui parle, un petit peu. C’est pas une grande déclaration, mais c’est beaucoup venant de lui quand il rajoute … mais je ferais n’importe quoi pour toi et pour te protéger, je ne laisserai personne te faire mal, il ne sait ce que ses paroles valent, il est sincère, c'est un dragueur parfois mais il dit rarement ce genre de choses. Et c'est pas d'aujourd'hui qu'il a envie de la sauver, même si il se sent bête puisque lui même lui a fait du mal plusieurs fois. Il ne sait pas encore où ça le mène, il ne veut pas se précipiter mais il est bien avec elle c'est ce qui compte. C’est avant sa réponse qu’il l’embrasse tendrement et langoureusement, c’est simple jusqu’à ce que sa main glisse dans la petite culotte d’Effie, qu’il commence à torturer tendrement, avec précision, il a envie de la faire patienter lui aussi.  

parfois t'imagine ce que tu serais à cet instant présent si tu n'avais jamais rencontrée Ryan, si dans ce bar Marco ne t'aurais pas dragué et que tu n'aurais pas remarquer ton loup plus loin, son regard profond qui à cernais le tien. tu serais certainement toujours dans ton petit appartement à déprimer, faisant tes cauchemars incessant et troublant sur la mort d'Elys. t'aurais vite compris que ta vie sentimentale serait vide, un néant. tu n'aurais pas eu tous ces souvenirs en compagnie de ton loup, le sexe, le sexe et le sexe. non pas seulement, ses surprises, sa générosité, sa cuisine, sa présence. mais aussi les disputes, ton coeur brisé. les bonnes et les mauvaises choses font que ta vie est bien meilleure aujourd'hui. Si tu n'aurais pas connu Ryan alors tu n'aurais pas connu l'amour inconditionnel. ce besoin irrésistible d'être avec cet être, cet homme qui calme toutes tes angoisses. alors bien vite tu cesses de t'imaginer sans lui parce que c'est bien trop douloureux et inimaginable. 
près de lui, ton corps coller au sien sans pour autant lui faire mal. tu ne résiste pas longtemps à ce visage à proximité du tien, ta main qui glisse contre sa joue, ton pouce sur ses lèvres. il est si beau que tu as cette impression de le découvrir à chaque instant. ses mains joueuses qui s'aventurent sans remords sous le tissu de la chemise, tu n'as pas grand chose qui couvre ta peau. bien qu'il ne cherche pas à te faire de l'effet tu as ces frissons qui apparaissent automatiquement sur ta peau, une façon qui lui prouve qu'il te fait toujours autant de plaisir. alors que ses paroles te font rire doucement tu secoues le visage. - pire que toi ? peut être. dis-tu en te mordant délicatement la lèvre alors que tu joues avec les siennes. alors que tu empruntes une route glissante vers un sujet plus sentimentale, sa réponse te surprend davantage. tu t'attendrie alors qu'il s'offre à toi, il entrouvre la porte de son coeur. le regard brillant alors que tu le sens si sincère dans ses paroles. ton coeur fond toujours plus à ses dires profondes. - oh ryan.. tu n'as pas le temps de terminer qu'il t'embrasse plus langoureusement un très bon moyen pour te faire taire, il connait les grands classiques. tu lui aurais dis bien des choses mais certainement qu'il n'avait pas envie de sentir plus nier qu'à cet instant alors tu ne résiste pas. jamais à un baiser de ton loup. ta main qui glisse dans sa nuque pour accentuer le baiser une façon de répondre à ses paroles. tu n'as aucune envie d'arrêter ce moment tendre que tu aimes tant. peut être que son intention n'était pas aussi malhonnête jusqu'à ce que sa main glisse dans ta petite culotte, c'est chaud à cet endroit et il le découvre bien vite. le laissant faire alors que ton corps ce cambre instinctivement contre le sien, ta main trouvant refuge dans ses cheveux. un souffle s'écrase contre sa bouche brûlante mais tu n'arrêtes pas le baiser, mêlant ta langue à la sienne dans un baiser beaucoup plus intense. tu chauffe telle une chaudière, voilà l'effet de Monsieur Withaker. Dieu que c'est bon.