(TC) SHINE BRIGHT LIKE A DIAMOND

Aujourd'hui tu avais décidé de faire les soldes. Mettant de l'argent de cotes durant les vacances tu pouvais aujourd'hui te faire plaisir. Prenant ton sac a main ainsi que ton téléphone portable tu laissas un mot a ton père lui indiquant juste que tu partais. L'air était chaud trop chaud tu avais l'impression de fondre au soleil. Buvant une gorgée d'eau tu regardais autour de toi quand tu entras dans une boutique de bijoux. Tu avais le droit de rêver. Les parures étaient magnifiques cela te donnait envie pourtant tu n'avais pas l'argent. Regardant les bijoux tu ne remarquas pas les deux hommes qui venaient d'entrer. Juste le bruit des vitres brisées te ramena a la réalité. Tu te laissas.tomber au sol tremblante de peur. C'était le karma. Doucement tu voyais la mort arriver a toi. Doucement tu voyais les pieds du braqueur s'approcher de toi

Beaucoup râlent à cause de la canicule mais toi ça te fait plaisir de profiter du soleil. Tu aimes voir Wauwatosa aussi lumineuse et pleine de visages heureux. Le soleil et les vitrines flamboyantes sont là pour vous rendre heureux ou vous rappeler à quel point vos poches sont vides. Tu es seule dans les rues, tu aimes être avec ton fils ou des amis mais ça peut faire du bien de se retrouver avec soit même. Tes yeux de pies, de femmes rêveuse balancent sur la vitrine de cette bijouterie. Tout brille, avec les rayons du soleil ça pourrait presque abîmer la rétine et provoquer quelques clignements de cils. Si seulement c'était ce qu'il se passait. Tu sursautes, tu ne t'attendais pas à entendre ce coup de feu assourdissant. Tu glisses après avoir été griffée par un morceau de verre. Ce n'est rien, une égratignure. Dans le feu de l'action tu te relèves directement. Rapidement du monde s'affole et tu te décales. Tu aperçois rapidement des silhouette à l'intérieur de la boutique. Merci tu es dehors et Aaron est en sécurité.

Ta mère t'avait demandé de t'accompagner dans cette bijouterie alors qu'elle devait récupérer un de ses bracelets qui avait eu besoin d'une réparation urgente. Tu l'écoutais avec le sourire te raconter que c'était un héritage familiale, qu'un jour il te reviendrait peut être. Tu adores ta mère, la trouve parfaite et tu voudrais lui raconter tout ce qu'il se passe dans ta vie et dans ton cœur depuis ses derniers mois mais tu ne veux pas qu'elle l'utilise pour être encore plus stressée qu'elle ne l'ai déjà de te laisser un peu de leste. Elle n'a pas besoin qu'on en rajoute, définitivement pas.

C'est ce que tu aurais peut être pu expliquer aux braqueurs si tant est qu'une mère surprotectrice aurait pu les faire reculer ? Car ils venaient de se croiser quand elle venait de quitter la bijouterie un instant, ayant oublier son chéquier dans la voiture. Tu en profitais pour regarder les bijoux, choisir ce que tu aurais voulu pouvoir offrir à ton petit ami si tu le pouvais.Tu n'as pas le temps de te décider qu'un bruit de verre te fais remonter la tête. Tu ne comprends pas immédiatement, tu suis juste ce que font les autres et te met à terre avant de réussir à te rendre compte que tu es en plein braquage.

Une bonne journée, certainement même trop chaud, tu pensais pouvoir supporter la chaleur mais finalement ça devenait trop difficile. Heureusement tu avais prévu le coup, vêtue d'une petite robe à fleurs que tu avais  trouvé quelques jours auparavant pendant une après-midi shopping. Tu devais passer à la bijouterie pour essayer ta bague, le mariage approche et les préparatifs s'organisent mais étrangement tu te sentais déjà mal à l'aise, l'endroit et voir ce bijoux sur ton doigts ne te rendais pas forcément heureuse.. dû moins certain détail n'était pas à ton goût et pas ce que tu voulais dans ta vie.. Evidemment tout est lancé et tu ne sais pas quoi faire, ça te dépasse totalement, tu te laisse coulé et parfois oublie ce que tu veux vraiment. 

Alors que tu étais à l'accueil, le bijoux face à toi tu venais de la retirer à peine essayer pour la taille, tu étais bien dans la boutique juste pour la température et la climatisation, il faisait bon. Jusqu'à ce que tu entende un bruit de verre brisé et des voix rauque et forte qui éclatent dans le magasin, tu sursautes et te retourne vers les deux individus qui te font face, le revolver pointé vers ton visage. Les mains levé et tremblante, tu regarde autour de toi, essayant de savoir combien de personne se trouve ici et tu aperçois Carina sur le sol, la peur t'envahis pour elle, pour toi et tout les autres, tu ne sais pas ce qu'ils sont capable de faire et ça te terrifie. Tu voudrais la rejoindre, rester près d'elle mais tu es prise au piège, dans la vision des deux braqueurs alors qu'il crie sur les vendeuses pour demander les caisses et le coffre ainsi que des bijoux. - Toi ne bouge pas. dis un des hommes, son regard noir trouvant le tien bien plus effrayé. 

@Carina Withaker 

Ta bécane. une journée seul, tu aurais voulu la passer en compagnie de ta petite amie mais parfois il faut s'avoir s'éloigner pour mieux se retrouver puis elle devait passer la journée avec sa mère pour ne pas éveiller les soupçons. des sms, parfois des petits appels de quelques minutes juste pour tenir toute une journée, même si la voir est bien plus intéressant tu arrives à tenir. tu as donc prévus de faire un tour en moto en cette belle journée, vêtu de tout ton équipement malgré la chaleur tu ne prend aucun risque. t'aime être libre et pouvoir profiter de ta solitude, pas de route ou de destination particulière juste envie de se balader. Te dirigeant vers la sortie de la ville, tu roule pas vite et tu passe près de la bijouterie mais le mouvement de foule attire ton attention, des cries et les verre brisé contre le trottoir, tu comprends que quelque chose ne vas pas. Tu te gare un peu plus loin, descend et te libère de ton casque et ton gros manteau et te rapproche en petite foulée d'une femme qui semble perdu (@Nikki Reyes) tu arrives près d'elle, inquiet. - Tout va bien ? Que ce passe t-il ? demandes-tu à son attention alors que les sirènes de la police s'approchent. Tu vois son égratignure, rien de grave mais elle saigne un peu, heureusement ça ne te fais rien la vue du sang.  Jusqu'à ce que tu entends quelqu'un crier le prénom de Tess, tu te redresse soudainement pour voir une grande femme blonde en panique devant la boutique. - Tess ? murmures-tu en regardant autour de toi espérant la voir en dehors. 

Faire les boutiques, ce n'était franchement pas ton truc. Pourtant, en cette après-midi ensoleillée, tu t'étais laissée emporter par une copine. Tu déambulais dans les allées de la ville avec ton amie, jusqu'à ce qu'elle décide de t'abandonner quelques minutes, pour aller essayer le petit haut fleuri qui se trouvait dans la vitrine d'une petite boutique dont tu ne connaissais même pas le nom. Toi, tu étais restée dehors, ton granité à la framboise à la main. Tu aimais ça, sentir les rayons chauds du soleil parcourir ta peau foncée. Tu avais toujours aimé ça... Et pas question de t'en priver en suffoquant sous l'air conditionné de la boutique, du moins, pas pour l'instant. Tu savais que ta sœur était dans le coin. T'avais vu le mot qu'elle avait laissé sur le plan de travail de la cuisine chez votre père... Alors, tu lui avais envoyé un message. Elle t'avait répondu. Apparemment, elle se trouvait chez le bijoutier, celui qui n'était franchement pas très loin de l'endroit où tu te trouvais. Tu allais surement la rejoindre, histoire de faire un petit repérage et de laisser sous entendre, une fois en famille, qu'un bracelet avait retenu ton attention. C'était ta technique ça. Ça marchait la plupart du temps... Enfin, pas le temps de rejoindre ta petite sœur, qu'un bruit assourdissant se fit entendre. Il y eut des cris de panique, et des éclats de verre qui tombaient à tes pieds. Par chance, tu étais plutôt loin et tu mis quelques longues secondes avant de comprendre. Il se passait quelque chose. Tu ne savais pas quoi. La seule chose que tu comprenais, c'est que ta sœur était au mauvais endroit. Tu en lâchas ta boisson, prête à t'élancer vers la bijouterie, de manière tout à fait inconsciente, alors qu'un bras ferme te tirait vers l'arrière. "Lâche-moi ! Ma sœur est là-dedans !!!", hurlas-tu, tentant de te débattre, en vain.

Citation :

Les deux brigands pointent leurs revolvers sur les vendeuses puis sur une jeune femme devant eux. Ils crient, ils sont violents, ils parlent fort et semblent sous pression. De gros dégâts pourraient arriver si on ne garde pas son calme. On peut commencer à entendre le son des sirènes de police. Asseyez-vous, tous contre le mur et pas de bruit, hurle l'un d'eux en montrant l'un des murs aux protagonistes avec son arme. Le deuxième tire en l'air, ça fait un bruit assourdissant. Les bijoux, vite ! Dit le deuxième à une vendeuse en lui lançant un sac en tissu au visage.

Tu as eu peur c’est vrai. Il faut dire que tu ne t’attendais pas du tout à ça comme la majorité des passants. Tu es de la chance, tu es dehors, tu ne risques rien. Enfin pas grand-chose, tu as quand même pris un bout de verre sur la joue qui t’a fait saigner. Tu sens que ça picote mais que ce n’est pas grave. Tu es un peu abasourdie en fait puis un jeune homme arrive rapidement vers toi. Tu ne le connais pas du tout mais il a l’air inquiet. Du monde commence à s’arrêter au milieu de la rue. C’est fou comme l’humain a une nature voyeuriste. Y a eu un coup de feu … lui dit-elle paniquée, sans vraiment savoir ce qui se passe à l’intérieur même de la bijouterie. Elle l’entend évoquer le prénom Tess, elle hausse les épaules mais elle s’en veut. Je ne la connais pas, elle est comment ? C’est pour l’aider à la chercher, si elle est dans les parages. Elle ne se doute pas une seule seconde que la fille qui cherche est à l’intérieur de cette bijouterie. Une autre brune est prête à arriver comme une folle en hurlant que sa sœur est prise au piège. C’est la panique, Nikki se sent mal. Les autorités arrivent et commencent à évacuer en installant des cordons, développant un périmètre de sécurité nécessaire.

C’est une belle journée, le soleil brille, le ciel est bleu. L’été donne envie d’errer. Ryan aimerait partir quelques jours mais il ne peut pas. Il a beaucoup de travail et des obligations, sans doute trop. Il a passé toute la journée à enchaîner des rendez-vous au tribunal, au cabinet ou encore directement ai poste de police. Il adore son métier mais parfois il devrait prendre un peu plus de temps pour lui pour se reposer. En fin d’après-midi, il a terminé ses rendez-vous et décide de rentre chez lui. Il n’y a personne. Il pourrait en profiter simplement pour se reposer mais non, il ne sait pas faire. Il attrape son ordinateur portable, ses papiers, tout ce dont il a besoin et le pose sur la table basse du salon. Après être allé chercher quand même une bière pour se détendre il se plonge dans ses mails. Il avait allumé la télé, il ne regarde pas vraiment mais il aime bien entendre le bruit de fond. Il avait mis la première chaîne quand il entendit les actualités qui parlaient en direct d’un braquage en cours au centre ville. Papa Withaker avait vu le papier de Maya dans la cuisine et l’appelle. Elle ne répond pas. Il appelle Carina et elle ne répond pas non plus. Il enchaîne plusieurs appels sans réponse, il laisse des messages. Il est chiant mais il est inquiet, il veut entendre qu’elles sont à l’abris chez leurs copains. Quelques instants après il tente également d’appeler Effie. Il ne sait pas pourquoi, mais il veut savoir que ça va aussi.

Pourquoi tu es allée dans cette bijouterie? Pourquoi tu voulais voir des bijoux  hors de prix pour toi ? Te voilà maintenant allongée au sol une arme pointée au dessus de ta tête. Tu trembles et pourtant tu arrives à tourner la tête, elle est là dans la même bijouterie que toi . Effie, tu sais pas pourquoi mais cela te rassures, tu sens ton corps doucement ce calmer. Ton portable il vibre, tu ne peux pas l'attraper , la peur te saisie de nouveau quand l'un des deux voleurs se rapproche doucement de toi. Il t'attrape et vous donne l'ordre de vous assoir contre le mur, sans rien demander de plus tu le fais, mais tu vas contre Effie, peut importe vos disputes, peut importe que tu puisses parfois ne pas la supporter en ce moment tu as juste besoin d'elle "Je veux pas mourir Effie". Tu le dis en chuchotant te plongeant dans ses bras. Ton coeur bat rapidement, tu vois dehors des gens, tu vois ta soeur et les larmes doucement montent, car oui tu peut être chiante la pire des chieuses avec ta famille, mais tu aimes chaque membre de celle-ci. Tu veux pas faire de bruit en pleurant, tu veux pas donner cette satisfaction aux braqueurs, alors tu pleures en silence   "je peux envoyer un sms à mon père.". C'était une question sans en être vraiment une, il fallait juste occuper un des braqueurs. Mais merde Carina tu es pas dans le dernier film hollywoodien à la mode

@EFFIE GARDNER & @Maya Withaker & @Ryan Withaker

C'était la panique dans ta tête, alors que ton cœur battait si fort qu'il résonnait dans tes oreilles. Le bras de la personne qui t'avait tiré vers l'arrière t'avait désormais lâché et tu lanças un regard bien trop noir au pauvre homme qui t'avait probablement sauvé la vie. Mais toi, tu t'en fichais. La seule chose qui tournait dans ton esprit intrépide était le fait que ta sœur était dans cette boutique. Les flics commençaient à envahir la place, fermant le périmètre et instaurant une distance encore plus grande entre ta sœur et toi. Carina. Ta Nana, comme tu l'avais toujours appelée. Ta toute petite sœur qui se retrouvait dans une situation bien trop délicate. Tu ne savais pas quoi faire tant la panique s'insinuait en toi. T'avais envie de foncer, de pleurer, de crier, tout à la fois, mais rien ne sortait. Et puis, il y a eu cette vibration au niveau de la poche de ton short en jean. Plusieurs appels manqués. T'étais prête à le rappeler, mais il te devança et tu n'attendis pas plus d'une seconde pour décrocher. "Papa !", soufflas-tu, ta voix tremblante comme jamais tu ne l'avais entendue. "Papa, y a un truc qui s'passe !!". T'avais du mal à reprendre ton souffle, ta voix partait dans les aigus et t'étais sur le poing de pleurer. Tu passas une main dans tes cheveux, alors que la police vous faisait reculer encore plus. "Carina, elle... elle est dans la boutique et... et putain, j'sais pas quoi faire, p'pa !". T'avais conscience que ton discours était décousu... qu'il y avait de fortes chances que ton père ne comprenne rien à ton charabia surtout s'il n'était pas au courant de ce qu'il se passait dans la bijouterie, mais rien de cohérent ne parvenait dans ton esprit à ce moment très précis.

@ryan withaker, @carina withaker

une journée ensoleillée. j'avais décidé d'aller me balader avec mon petit homme qui me tenait la main. se balader, c'était bien l'une des seules distractions que nous pouvions faire. ça ne coûtait rien et ça faisait passer le temps. puis, ça me permettait aussi de voir si des petits jobs étaient proposés par les boutiques. j'en cherchais un activement mais, je devais aussi pouvoir m'arranger pour que jace soit gardé pendant mes heures de boulot. bientôt il devrait rentrer à l'école. sa première année d'école. ce serait déjà plus simple pour moi. nous étions bien tranquille à flâner devant les boutiques lorsque nous entendions un bruit assourdissant et des hurlements. jace me sauta dans les bras, apeuré par tout ce chahut. c'est en me retournant que je compris qu'il se passait quelque chose dans la bijouterie. je n'allais pas l'avouer devant mon bébé mais, moi aussi j'avais peur et en même temps, je n'osais pas bouger pour m'éloigner.

C’est comme un cauchemar qui se répète. Ryan ferme les yeux un instant dépité en entendant sa fille au téléphone. Il entend sa panique dans sa voix. Elle bafouille, suffoque mais Ryan comprend. Calme toi Maya … dit-il doucement. Ne fais rien de dangereux, j’arrive. Ryan ne savait pas quoi dire et pas quoi faire. L’été dernier il a du sauver Maya d’une prise d’otage, ça a couté la vie à son ami. S’il a l’air d’avoir repris le dessus il ressent toujours beaucoup de chagrin et de culpabilité. Il n’attend pas une seule seconde. Après avoir rangé rapidement son téléphone dans sa poche, il laisse en plan tout ce qui était sur la table basse et sort de chez lui. C’est long pour circuler en ville et aller jusqu’à la bijouterie. Comme Ryan s’y attendait une bonne partie du centre a été fermée pour laisser les autorités gérer. Ryan ne se sent pas bien du tout, il a vraiment peur mais il ne laisse rien transparaître. Il sait que Maya est là bas aussi et il doit être fort pour elles. Il a du se garer assez loin et aller à pieds. Il avait l’impression de ne jamais être assez rapide. Il fallait passer à travers les gens qui stagnaient là. Quand un agent de police se pose devant Withaker pour le dissuader de passer … je viens chercher mes filles … c’est vrai et le policier finit par le laisser passer. Bien évidemment il ne reviendra pas tout de suite, il ne quittera pas les lieux sans avoir récupéré ses deux trésors. Il y a du monde, la foule s’agglutine pour voir ce qu’il se passe, espérant avoir des nouvelles ou voir les cambrioleurs fuir. Pardon, pardon, pardon, il ne faisait pas attention à qui il parlait, faites attention … dit-il gentiment à une jeune fille avec un enfant dans les bras. Finalement au milieu de ce monde il trouve Maya. Il fonce vite vers elle et pose ses mains autour de son joli visage, tu n’as rien ? ça le rend malade de savoir Carina à l’intérieur.