(TC) DISPENSARY

Tu n’avais pas vraiment eu le temps d’en savoir plus. Mais tout juste assez pour savoir que ça n’allait véritablement pas en ce moment même. Les premiers sms échangés avec ton meilleur ami Ryan te confirmait la gravité des évènements. Ta nièce était prise au piège au supermarché, avec d’autres otages avec elle. Qu’importe, tout était une excuse à se faire du sang d’encre pour elle. Marchant dans les rues peu à peu envahit par la foule, Minnea Homes n’est plus qu’un presque chaos. Agitation et bousculade, ton regard perdu à l’horizon pour décrire la silhouette trop peu distincte encore du bâtiment assiégé. Jusqu’à ce que tu entends une voix, une voix qui te fait céder ta course. ’’Aidez-moi’’ C’est de cette façon que tu te retrouves au dispensaire, pour avoir amené une jeune femme blessée. Et de son agitation verbale, tu devines également qu’elle avait réussi à s’échapper. Ton téléphone entre les mains, tu parles à la fois à Ryan puis à Jules. Jules qui t’énerve à vouloir jouer les têtes brûlées alors qu’il n’y a malheureusement rien d’autre à faire que d’attendre. Attendre avec peur mais attendre que la police fasse son travail. Tu arrives à te dérober de cette femme et c’est quand tu es sur le point de partir à toute hâte qu’une voix tout aussi familière te provient des couloirs de l’hôpital. Klaus. Sans compter la voix de l’animateur qui relate les faits à la télévision. ’’Klaus !’’ Tu avances vers le grand brun, celui qui en plus d’avoir été un détenu avec qui tu t’es rapproché en dépit des efforts que tu as fait avec tous les autres, tu peux bien avouer que tu ne regrettes pas tes choix, compte tenu votre relation de ce jour. Tu vois son fils, pour en avoir entendu parlé au bal de promo. Pour y avoir discuter un instant tous les deux d’autres sujets divers. ’’Tu vas bien ? Comment va t-il ? Et Frankie…ça va aller.’’ Ce sont les seuls mots que tu trouves pour le détendre, pas très certain de toi quand même.

@‘’Klaus Falkenhausen’’

Les médecins étaient débordés. Trop nombreux pour gérer le nombre de personnes présentes. Et pourtant, celui à qui on avait confié sa pauvre coupure n’en démordit pas, et tint à ce qu’elle se tienne tranquille jusqu’à ce qu’il l’ait rafistolée. Renfrognée, Sofia se laissa donc faire. Quand il en eut terminé avec elle, il lui conseilla de rester tranquille. Alors évidemment, dès qu’il eut le dos tourné, Sofia bondit sur ses pieds. Rester assise là à regarder les allées et venues des autres, les doigts de pieds en éventail, ce n’était pas son truc. Elle observa un instant la pièce. Les médecins allaient et venaient, et elle repéra même Julian, l’une des rares personnes avec qui elle avait gardé contact après son départ de Wauwatosa. Il était occupé, et elle le laissa donc vaquer à ses occupations. C’est lorsque son regard se posa sur Elena, une jeune femme rencontrée il y a quelques années alors que la blonde était encore étudiante, que Sofia eut une idée. Car près d’Elena se trouvait un homme… Et une petite demoiselle haute comme trois pommes qui ne devait pas comprendre tout ce qu’il se passait. Et elle n’était pas la seule enfant à se trouver ici.

Sofia s’éclipsa donc, direction la boutique de l’hôpital. A son retour, elle avait dans les bras du papier et des crayons de couleur qu’elle avait réussi à soudoyer à une infirmière, quelques livres pour les enfants, et des paquets de bonbons. Avec l’accord d’une infirmière qui passait par là, elle installa tout son bazar sur une table dans un recoin de la salle. Sofia n’avait pas d’enfants mais si elle savait bien une chose c’est que ces petites bêtes là, il faut parfois les distraire. Et ils seraient bien mieux le nez dans un livre ou un dessin que postés devant la télé à observer les horreurs qui se passaient dans les rues de leur ville. Ils auraient bien le temps de se rendre compte à quel point le monde dans lequel ils vivaient pouvait être impitoyable. Ce n’était certes pas grand-chose, mais un petit geste, plus un autre, et encore un autre… Ca fini par faire beaucoup.

Il régnait au bloc opératoire une certaine joie. L’opération avait été compliquée mais pour ce petit garçon de huit ans qui avait ingéré une douzaine d’aimant, tout se passerait bien. Il s’en sortirait presque sans séquelle s’il était bien suivi médicalement pendant l’année à venir. C’était le genre de nouvelles qui illuminait une journée. Mais à cette atmosphère d’allégresse se substitua bientôt une froide angoisse quand tous les bippers du personnel présent au bloc se mirent à hurler. C’est une infirmière anesthésiste qui prit la lourde tâche de lire aux présents ce qui était en train de se produire. Une prise d’otage dans un supermarché, de nombreux blessés, toutes les interventions non urgentes annulées. Il ne fallut qu’une seconde à son cerveau de militaire pour savoir qu’il s’agirait de blessures inquiétantes et compliquées à traiter – les blessures par balles laissant rarement leur chance aux tissus pour se remettre. Une trentaine de secondes plus tard, l’humain repris le pas sur le militaire. Daisy. Hayley. Laissant à un résident le soin de refermer – non sans avoir lourdement insisté sur les précautions à prendre et à vérifier qu’il soit supervisé, Eryk sorti du bloc comme une furie. Daisy. Hayley. Attrapant son bipper et son portable, la vue de son écran le rassura immédiatement. Un appel en absence et un texto inquiet de Daisy lui confirmèrent que sa fiancée était en sécurité. Les mots de Julian, à l’inverse, provoquèrent une sainte terreur pour lui. Hayley. Ignorant l’ascenseur, il se précipita dans les escaliers en direction des urgences. Daisy était en sécurité. Hayley ne l’était pas. Et la terreur de sa sœur pour les armes à feu ne datait pas d’hier. Les urgences ressemblaient à un hôpital de fortune du désert – équipement médical exclu. L’hôpital de Wauwatosa n’était pas aménagé pour gérer ce genre de crise. Le chaos, l’inquiétude, les cris et les pleurs. Il repéra bien vite Julian. Il n’avait toujours aucun atome crochu avec son beau-frère, mais aujourd’hui n’était pas le jour pour en débattre. « Daisy va bien. » Lui lança-t-il alors qu’il s’occupait d’un patient. « Hayley est vraiment à l’intérieur ? » Interrogation inutile, mais il lui fallait le savoir. Sa petite sœur avait assez souffert comme ça.
@Julian Parker

Ton beau frère t'avait retrouvé dans cette folie. Vous travaillez sous le même toit, mais sans le faire volontairement, vous vous évitiez. Disons que l'endroit est assez grand pour que vous n'ayez pas à vous croiser. Le tout changera quand ta femme reprendra le travail. Tu en es certain mais tu profites de l'espace pendant qu'il est légal. Après tout, il ne cherche pas à prendre de tes nouvelles non plus.
Aujourd'hui, c'était différent, l'urgence faisait en sorte que vos différents s'effaçaient. Vous deviez être professionnels et avoir un autre médecin à l'étage vous aiderait. Avec la carrière qu'il menait, tu savais ton beau frère capable de travailler sous cette pression. Merci mon dieu. Que tu réponds après avoir entendu le nom de ta soeur. Tes dents se serraient quand il mentionna Hayley. Il avait reçu ton message. L'anxiété au ventre, tu t'inquiétais aussi pour elle et Mini, ta petite soeur encore trop jeune pour vivre ce genre d'horreur. Personne ne devrait faire face à une prise d'otage, mais tu échangerais de place avec elle dans un battement de coeur. Tu prendrais celle de Hayley aussi sans hésiter. Tu y laisserais ta vie pour la leur. Ivy aussi. Tout ce que tu réponds froidement. Pour cacher ta panique et parce que ça t'embête qu'il ne l'ai pas mentionné. Il y avait aussi une dizaine d'autre otages pris au piège. Tous l'enfant de quelqu'un. Tous amis de quelqu'un dans cette hôpital. Cette endroit était si petit, tout le monde se connaissaient si on faisait les liens. Tu étais entre deux patients cherchant la prochaine personne dans le besoin. Sofia? Tu interpelles une brune que tu connais depuis longtemps, mais que tu ne savais pas encore ici. Ton attention qui se dirige directement sur sa blessure. Tout va bien, on s'est occupé de toi? Tu pouvais voir que oui, mais tu avais besoin qu'elle te dise que sa situation était sous contrôle. Hayley était toujours dans l'arrière de tes pensées avec ta frangine. Ce message avait calmé ton coeur trois millième de seconde. Si quelque chose leur arriverait, tu ne te pardonnerais jamais d'être resté ici au lieu d'aller les rejoindre.
@Eryk Mills @Sofia Sullivan

Tu as très peur, tu sais que Megan est là bas. Tu essayes d’être positive, de croire que tout va s’arranger. La police fait son travail et ta sœur sortira saine et sauve de ce problème. Tu ne sais pas si tu le crois vraiment mais tu préfères. Ce qui te fait tenir le coup actuellement ? la présence de Nolan et son père. Nolan est adorable. Tu as un peu parlé avec lui, ça l’a aidé à oublier un petit peu son mal, et ça t’a aidé toi aussi. Tu lui souris lorsque finalement un médecin arrive, merci Docteur, te contente tu de dire avant de sourire à Nolan qui pouvait montrer ses blessures. Les tiennes sont moins importantes. Klaus est à côté de toi, il t’apaise aussi. De ta main encore en forme tu te permets de passer rapidement ta main dans ses cheveux, tu as besoin de quelque chose ? tu ne sais pas si tu pourras lui apporter ce qu’il cherche, mais tu es là pour lui. Ce geste n’est pas ambigu, c’est simplement doux et tendre, un signe d’affection. Les personnes autour peuvent voir combien vous comptez l’un pour l’autre. Tu vois aussi Andrew plus loin avec Elena, mais il n’a même pas répondu à ton signe de tête alors tu préfères laisser tomber. Tu n’as ni le courage, ni la force à ce moment précis de te préoccuper des pensées de ton ex à ton égard. S’il est là, c’est qu’il a sans doute les mêmes soucis que toi. Tu te permets finalement de poser ta tête contre l’épaule de Klaus quelques minutes pour te reposer.

Les journalistes sont nombreux dehors, les forces de l'ordre aussi. La télévision américaine annonce que la police tente de rentrer en communication avec les preneurs d'otages. Les noms des otages ne sont pour l'instant pas communiqués pour ne pas affoler les familles.

LE CONTACT EST ETABLI ENTRE LA POLICE, L'AGENT @DANI BROCK ET LES RAVISSEURS.

A l’autre bout du fil, tandis que Dani Brock arrive à joindre les preneurs d’otages, son interlocuteur réponds :
"Agent Brock. Que voulez-vous savoir ?" S’il a prit soin de se tenir à l’écart du groupe surveillé par ses amis complices, la voix de @Maya Withaker fini de rompre le silence pesant à un deuxième ravisseur : "Ecoutes moi bien Rambo, mon amie là est diabétique, si elle ne mange pas de sucre, elle va faire une hypoglycémie qui peut vite se transformer en crise cardiaque.'' Ce deuxième ravisseur sur un coup de colère et sous la pression renverse une des étagères, des pots de verre éclatent en mille morceaux au milieu des otages encore assis et effrayés. Une bouteille se brise sur la jambe de @Hayley Parker. Et perdant patience, le preneur d’otage à qui elle s’adresse lui lance un regard noir. "Eh gamine, tu restes sage si tu veux pas avoir de p'roblem ! Ta copine a son sucre ça suffira bien pour qu’elle ne fasse pas de malaise. GROUILLE TOI !" La voix de ce dernier interpelle soudain Dani, qui fronce les sourcils et réponds aussitôt : ’’Que voulez-vous exactement ?…J’ai une faveur à vous demander.’’ ’’Dites toujours mais ce ne sera pas si facile Mademoiselle Brock.’’

CONTACT ETABLI ENTRE LES FORCES DE L'ORDRE ET LES PRENEURS D'OTAGES. UNE NEGOCIATION SEMBLE EN COURS. SUR L'ECRAN DE TÉLÉVISION DE L'HOPITAL, LES IMAGES DU FOURGON PASSE AINSI QU'UNE VUE D'ENSEMBLE SUR LE SUPERMARCHE, SOUS LES COMMENTAIRES DU JOURNALISTE.

''Nous n'en savons pas plus encore, mais il semblerait que cela bouge du côté de la police. Nous vous tenons très rapidement informés !''

Sofia n’était pas médecin. Tout ce qu’elle avait, c’était quelques rudiments de premiers secours, rien d’assez poussé pour être d’une quelconque utilité aux blessés. Alors elle participait comme elle pouvait. Peut être était-ce parce qu’elle-même avait eu une enfance compliqué qu’elle avait tenté, avec ce qu’elle pouvait trouver sur les lieux, de rendre ce moment moins angoissant pour eux. Wauwatosa était une petite ville, tout le monde ici devait connaître quelqu’un à l’intérieur, contrairement à elle, qui avait passé des années loin de cet endroit qui ne lui rappelait que peu de bons souvenirs. Elle avait reconnu quelques visages, mais ce n’était rien comparé aux gens qui, contrairement à elle, avaient leurs vies ici. Elle en était à se chercher une nouvelle occupation lorsqu’elle vit Julian se diriger vers elle. Il semblait surpris de la voir ici, ce qui n’avait pas grand-chose d’étonnant. Ils avaient repris contact voilà des années, après que leurs chemins se soient croisés à Chicago, mais la distance et les aléas de la vie faisaient qu’ils n’avaient pas toujours le temps de se tenir au fait de leurs vies respectives, et elle ne l’avait donc pas prévenu de son retour en ville. Hey, le salua-t-elle rapidement. Oui on m’a rafistolée, t’en fait pas pour moi, le rassura-t-elle, mettant en évidence sa plaie soigneusement couverte d’un pansement. Après un bref regard vers la télévision, Sofia reporta son attention sur son vieil ami. T’étais occupé avec un patient j’ai pas voulu venir t’embêter mais je crois que j’ai vu ta sœur et ta femme à l’intérieur. Comment les avait-elle reconnues ? Merci les réseaux sociaux. Ces petites bêtes ont pas mal de défauts, mais elles peuvent aussi s’avérer utiles, parfois. Elles avaient l’air d’aller bien, quand ils m’ont laissée sortir. Je crois que ta sœur a dû prendre un coup sur la tête, mais ça avait l’air d’aller. Mentionner l’éventuelle blessure de sa sœur n’était peut être pas judicieux, mais elle ne se voyait pas lui mentir ouvertement. Ca ne voulait pas dire que ça durerait, même si Sofia le souhaitait, mais au moins, il savait que pour le moment, tout le monde était entier. J’suis pas médecin mais si je peux faire quoi que ce soit, dis-moi d’accord ? Même si c’est juste… aller chercher une tournée de cafés, aider à faire une liste des gens qui sont susceptibles d’être à l’intérieur… n’importe quoi. Sofia n’aimait pas se sentir inutile alors certes, s’occuper des blessés n’était pas dans ses cordes, mais il n’empêchait qu’elle voulait faire sa part. Pas de proches à l’intérieur, pas particulièrement paniquée par les évènements – elle gèrerait ça plus tard, en tête-à-tête avec un sac de sable – hormis un bras en vrac, elle était à peu près opérationnelle.
@Julian Parker

Melvin allait retrouver sa soeur et tu comprenais bien pourquoi. Tu ferais tout pour retrouver les tiennes. Surtout celle qui était enfermée dans le supermarché. Merci Un seul mon suffit dans l'urgence. Tu reprends ton téléphone et le laisse repartir dans la ville. Sois prudent! Tu lui lances un dernier commentaire avant de retourner en mode docteur. Pas le temps de penser à quoi que ce soit. Que les patients qui vous entour.
Ton regard qui croise Sofia, rapidement tu te retrouves près d'elle à observer son bras. Elle avait raison, elle avait été bien prise en main et même si habituellement, elle devrait rester tranquille pour se remettre de sa blessure, il n'y avait pas de temps à perdre. Ce patient est sous contrôle. Je cherche à démystifier qui est ici en panique ou à la recherche de leur proche et qui à besoin d'assistance. C'était la folie furieuse ici. Des gens rentrait paniqué parce qu'il ne trouvait pas leur amis ou famille. Espérant les trouver ici, même si en même temps ce n'était jamais une bonne nouvelle de les retrouver aux urgences. Je sais, Ivy m'a écris de l'intérieur. Ton coeur palpitait à penser à tes proches enfermés pendant que tu étais ici. Impuissant face à leur terreur, tu pouvais aider ceux qui étaient ici. Inquiet par la suite, tu espères que ta soeur n'a rien de grave. Je te sure que quand elle sort de là, je la force à s'installer chez moi et la force de m'écrire à tous les heures de la journée. Tu plaisantais, mais fallait s'accrocher au fait qu'elle sortirait et oublier un peu le coup de feu annoncé à la télévision plus tôt. Elle s'en sortirait vivante. Hayley aussi. Tu ferais tout pour elles. Peut-être m'aider à séparer les blessés des gens paniqués. Faut établir un plan de match. Si on fait des listes. On met dans les salles d'examens les gens qui ont besoin d'aide immédiat, on met dans la salle d'attente les blessées qui peuvent attendre un peu et les proches dans la cafétéria, on réussirait peut-être à vraiment aider quelqu'un. Tu trouvais que vous tourniez en rond. Effectivement que tu laisserais les enfants avec leur parents, mais beaucoup de gens était ici simplement à la recherche de gens. Dans la cafétéria, Sofia pourrait vous aidez à faire une liste des gens toujours perdu et vous pourriez aider ses familles en peur à les retrouver s'ils sont dans l'hôpital. Erik pourrait gérer les situations plus grave avec Auden dans les salles d'examen et tu pourrais garder un oeil sur les gens qui attendent leur tour dans la salle d'attente. Tu avais avec ton ami regroupé les docteurs sur place pour essayer d'établir un plan d'attaque.
@Melvin Brock @Sofia Sullivan @Eryk Mills @Auden Serritzlew

Nous acceptons. Le deal est lancé entre les ravisseurs et l'agent Brock. L'échange aura lieu dans dix minutes .... La tension est palpable au sain du supermarché. Le ravisseur raccroche, ils s'agitent. Ils réfléchissent, se demandant bien qui ils vont bien pouvoir échanger. Il faut d'abord s'emparer de la caisse ... et ils ne parlent pas de la petite caisse en sortant du magasin. 30000 DOLLARS, voilà ce qu'il se cache dans cette caisse, à côté de la direction, près des stock. Afin de ne pas mettre leurs empreintes sur les billets, les malfaiteurs décident d'engager deux personnes parmi les otages, c'est ainsi que @Sarah Harris et @Nea Becker se retrouvent toutes les deux, vous deux, levez-vous tout de suite ! Les deux jeunes femmes se retrouvent côté à côté avec un revolver derrière elle, se dirigeant vers ce coffre. Pendant ce temps les ravisseurs ont décidé, toi ! dit-il en la pointant du doigt, la diabétique tu sors ! Alors que le chef d'équipe reste proche du téléphone, son bras droit attrape alors @Løne Serritzlew et l'emmène jusque devant le rideau de fer encore fermé. Agent Brock, dit le malfrat masqué après avoir repris contact, nous attendons notre échange, non armé, non flic suis-je clair ? Sinon les choses vont vraiment dégénérer !

UN ECHANGE A ETE ACCEPTE, UNE MANOEUVRE POUR AIDER LA POLICE ET LES OTAGES, LONE VA SORTIR ET SERA SUREMENT AMENEE PAR AMBULANCE A L'HOPITAL DE WAUWATOSA.